vendredi 24 juillet 2009

C'est tellement évident !



A tester. Et pour ceux qui veulent tout savoir sur l'art de poser sa crotte au bureau, un ouvrage est disponible ici.

vendredi 3 juillet 2009

J'aime les porcs.

Si je préfère une paire de fesses humaines à quelque vulve caprine, je
n'hésite pas à l'affirmer haut et fort : j'aime les porcs. Ceux qui s'empiffrent de tout et n'importe quoi, pourvu que ça remplisse l'estomac. Les bien gras. Les très couenneux. Bref, j'aime le porc dans sa normalité.

Et puis tout est bon dans le cochon. Les tétines de truie (et la vulve) seraient des mets raffinés. En Crête, on dégusterait une spécialité de pénis de porc frit. Il est même possible de savourer une délicieuse pizza aux testicules de porc. Et pour ceux (qui lisent l'anglais) qui en douteraient encore, le Testicle Cookbook vous donnera tous les tuyaux et astuces pour réussir de délicieux plats à base d'organes génitaux.

Bref, vous l'avez compris, j'aime les porcs. Les cayons. Les mouchus. Les gorets. Les gagnoux. Les pourcés. Je l'ai écrit dans un post précédent : je songeais à élever des chèvres dans le Larzac. Et bien j'ai décidé d'élever des porcs.
La route est longue. Difficile. Semée d'embuches. Aujourd'hui, on ne monte plus un élevage de porcs en claquant des doigts. Il faut montrer patte blanche. Donner des références. La teboua qui fournit la nourriture des porcs est devenue exigeante : Pas moins de 8 références sont nécessaires. 4 à caractère professionnelle, 4 autres à titre plus social et personnel. Parmi ces 8 références, 4 seront visitées par le fournisseur. Il faut bien vérifer et mesurer votre aptitude à élever des porcs.

L'aventure commence aujourd'hui, vendredi 3 juillet. Jour de la Saint Thomas. Où "je m'engage, si ma candidature est retenue pour le fournisseur de bouffe à porcs, à consacrer tout mon temps à mon métier d'éleveur de porc". C'est la formule consacrée.

Pourvu que je ne tombe pas dans la fosse à purin.